De l’aube du soir à celle du matin

Le soleil de la jeunesse, s’il est plein,
Ressource la vieillesse, quand elle geint.

Le vent, ébouriffant tes cheveux,
Me révèle le sourire de tes yeux.

Les richesses de la vie, si elles sont étoilées,
Piquètent de douceur les cœurs atrophiés.

La ronde des enfants tourne les têtes,
Entrainant qui n’est pas à la fête,

Le dessin de tes traits, qui encore t’embellit,
Éclaire d’élégance, ceux qui me sourient.

La douceur de ta peau, propriété privée,
Caresse de mes doigts tes secrètes pensées.

Quand à vingt ans, on aime pour la vie,
La vie nous le rend, même si ne le dit.

De l’aube du jour au soir de chaque matin…

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